Photo ci-dessus : Anton Wolfaardt , chef de projet MFM, tient son certificat de parrainage d’un hectare reçu en remerciement de l’Accord sur la conservation des albatros et des pétrels.

En février de l’année dernière, Anton Wolfaardt a été nommé
chef de projet
du projet Mouse-Free Marion. Auparavant, il a occupé, à partir de 2013, le poste d’animateur du
Groupe de travail sur les prises accessoires d’oiseaux de mer
de l’Accord international sur la conservation des albatros et des pétrels (
ACAP
), dont les membres sont des experts et des praticiens dans le domaine des prises accidentelles d’oiseaux de mer et de l’atténuation des prises accidentelles. Anton était chargé de faciliter et de coordonner le travail du SBWG pour s’assurer que les efforts visant à mieux comprendre et à réduire les impacts des prises accidentelles sur les oiseaux de mer, en particulier les albatros et les pétrels, progressent, et que l’ACAP reste réactif aux nouvelles questions liées aux prises accidentelles. Au cours de son mandat de trois ans, le SBWG a élargi son champ d’action, passant d’une focalisation technique sur les approches d’atténuation dans les pêcheries industrielles à l’inclusion des pêcheries à petite échelle, des exigences de contrôle et de conformité, et des aspects socio-économiques des prises accessoires.

En devenant chef de projet MFM, Anton a quitté son poste de coordinateur du SBWG pour se consacrer pleinement à l’éradication des « souris tueuses » de l’île Marion. En reconnaissance de ses longs services, le secrétariat de l’ACAP a parrainé un hectare à son nom. En recevant son cadeau d’adieu, Anton écrit : « Je suis très reconnaissant à mes amis et collègues de l’ACAP pour leur don d’un parrainage pour le projet MFM. Bien que je ne sois plus officiellement impliqué dans le travail de l’ACAP, le projet MFM est directement lié à l’ACAP et à l’engagement de l’Afrique du Sud pour la conservation des albatros et des pétrels. L’île Marion est un site de reproduction important pour les espèces de l’ACAP. L’éradication des souris de l’île permettra aux populations d’albatros et de pétrels d’importance mondiale, qui ont subi l’impact négatif de la prédation par les souris, de retrouver leur gloire initiale. J’ai hâte de tenir mes collègues de l’ACAP, et d’autres, informés de nos progrès. »

John Cooper, Correspondant de presse & Membre du groupe consultatif scientifique et technique, projet Mouse-Free Marion, 13 janvier 2022