Photo ci-dessus – Dans son habitat naturel : Roeloff brasse à Kloof Nek Corner, sur la montagne de la Table du Cap.
Pour figurer dans la prestigieuse catégorie « Albatros errants » du projet Mouse-Free Marion, il faut parrainer 100 hectares (ou plus) en vue de l’éradication des souris qui ont pris l’habitude de tuer les poussins d’albatros en les dévorant vivants. Jusqu’à présent, seules trois personnes ont atteint ce niveau grâce à leur généreux…
parrainages
. L’un d’eux est le Sud-Africain Roeloff Botha, passionné d’ornithologie et membre de longue date de BirdLife Afrique du Sud. Mouse-Free Marion a contacté M. Roeloff, non seulement pour le remercier, mais aussi pour savoir ce qui l’a amené à faire un don de 110 000 rands sud-africains (en deux tranches distinctes) au projet. Les questions et les réponses qui suivent révèlent comment un « Sud-Africain ordinaire » s’est motivé pour soutenir une bonne cause.
M-FM :
Avez-vous eu un lien personnel avec Marion, peut-être en visitant l’île ?
RB : Bien que je n’aie jamais eu le privilège de visiter Marion, cette ville figure en bonne place sur ma liste de souhaits. Je participe au voyage ‘
Flock à Marion
Je participerai au voyage de l’année prochaine, ce qui me permettra de découvrir l’île pour la première fois, mais de loin !
MF-M :
Qu’est-ce qui vous a motivé à faire votre parrainage ?
RB : J’ai pris conscience du défi lancé à Marion grâce à divers articles que j’ai lus sur le sujet. Je suis un passionné d’ornithologie et de faune sauvage, et il était donc naturel que je sois ému par la situation critique des oiseaux sur l’île. Je pense qu’il incombe à l’humanité de promouvoir et de soutenir la protection du monde naturel, et ce projet me semblait être une excellente occasion de le faire. En fait, je le considère comme un principe de ma foi. Marion nous offre une chance de réparer les dommages que nous avons causés en tant qu’êtres humains et, étant donné son éloignement, de le faire de manière durable. Ce serait formidable de pouvoir y repenser un jour en sachant que j’ai pu jouer un rôle dans la restauration d’un petit morceau de notre planète.
M-FM :
D’autres informations sur vous-même ?
RB : Je suis un Sud-Africain ordinaire comme les autres, qui croit que nous pouvons faire le bien si nous reconnaissons le problème et faisons des efforts pour le résoudre. Je suis membre de BirdLife South Africa depuis de nombreuses années et, pour le reste, je suis un passionné de plein air – je cours, je fais de la randonnée et de l’escalade dès que je le peux (ou dès que je ne suis pas en train d’observer les oiseaux !) Sur le plan professionnel, je suis associé chez
PricewaterhouseCoopers
Je travaille sur des projets financiers de différentes formes et tailles.
M-FM :
Autre chose que vous auriez aimé mentionner ?
RB : Steve Jobs est souvent mentionné comme quelqu’un qui voulait ‘
faire une trace dans l’univers
‘. Je comprends que cela signifie que nous devons croire que nous pouvons avoir un impact durable (et positif) sur le monde – et vous n’avez pas besoin d’être le créateur de la prochaine « pomme » pour le faire – vous pouvez avoir un impact durable en contribuant au projet Mouse-Free Marion (ou à tout autre projet qui vous tient à cœur).
M-FM :
Et le projet Mouse-Free Marion est tout à fait d’accord !
John Cooper, 21 mai 2021
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